Témoignages inédits sur la crise climatique dans la Corne de l’Afrique et au Mozambique
Frappées par des cyclones et subissant les dégâts de sécheresses extrêmes, des communautés pauvres dans la Corne de l’Afrique et au Mozambique se retrouvent au premier rang de la crise climatique dont elles ne sont pourtant pas responsables. Elles sont largement abandonnées par la communauté internationale, qui n’a fourni que l’équivalent de 3 dollars par personne et par an (soit moins d’un centime par jour) pour les protéger des conséquences dévastatrices de la crise climatique.
Alors que les dirigeant-e-s du monde entier se réunissent la semaine prochaine à New York à l’occasion du Sommet Action Climat des Nations Unies, Oxfam exige plus que des paroles en l’air et des fausses promesses. Oxfam demande des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre ambitieux, une augmentation des financements pour l’adaptation des populations les plus pauvres aux changements climatiques et des mesures visant à résoudre les causes profondes de la pauvreté, notamment la crise de la dette, qui exacerbent la vulnérabilité des personnes.