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Ils sont 16 millions à avoir besoin d’aide humanitaire dans le pays. Cela signifie qu’une personne sur trois dans cette situation au Moyen-Orient est yéménite. Dix millions de Yéménites ne mangent pas à leur faim, dont 850 000 enfants souffrant de malnutrition aigüe. Des millions de personnes ne disposent pas d’eau potable et ne peuvent pas accéder à des services de santé de base.

Oxfam met aujourd’hui en garde contre la mauvaise mise en œuvre des quarantaines généralisées en Sierra Leone : au lieu d’endiguer l’épidémie d’Ebola, celles-ci aggravent en fait le risque de propagation de cette maladie mortelle, tout en infligeant des souffrances inutiles aux communautés

Aujourd’hui (vendredi 31 octobre), le plan d’intervention Ebola de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest visant à endiguer l’épidémie d’ici la fin novembre arrive à mi-course. La crise est cependant loin d’être terminée.

Pour Oxfam, plus de troupes, de financements et de personnels médicaux sont nécessaires si nous voulons empêcher que l’épidémie d’Ebola ne continue de s’étendre et devienne hors de contrôle.

Pour Oxfam, l’épidémie de fièvre Ebola, en Afrique de l’Ouest, ne pourra être contenue que si l’on renforce les efforts de prévention.

L’organisation appelle à un effort concerté de la communauté internationale pour stopper l’épidémie d’Ebola et demande un soutien logistique militaire.

Malgré les terribles conséquences du typhon Haiyan aux Philippines, la rapidité d’action, appuyée par un bel élan de solidarité tant local qu'international, a permis à des millions de personnes de survivre.

5 ONG humanitaires internationales affirment aujourd’hui que de nombreux réfugiés syriens vivant hors des camps dans les différents pays de la région ne bénéficient pas de l’aide dont ils ont désespérément besoin.

Alors que les températures locales vont atteindre plus de 40°c dans les semaines à venir, Oxfam est très préoccupée par l’augmentation des risques sanitaires pour les réfugiés syriens provoquée par cette hausse des températures.

Trois ans après le séisme de 2010 en Haïti, des centaines de milliers d'Haïtiens et Haïtiennes vivent toujours sous des tentes et le pays reste très vulnérable aux éventuelles futures catastrophes.