Les pays riches ont entre les mains la responsabilité du succès ou de l’échec de la conférence qui s’ouvre ce matin à Copenhague, point culminant de deux années de négociations internationales sur le climat.
Les dirigeants qui se rencontrent à Davos cette semaine lors du Forum économique mondial devraient étudier sérieusement comment la crise économique pourrait servir de catalyseur pour mettre en place de nouveaux modèles de croissance et de travail.
Les échecs des pays riches face à l’urgence du changement climatique bafouent en effet les droits de l’homme de millions de personnes les plus pauvres du monde.