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Le 12 janvier 2010, un séisme de grande ampleur a frappé la capitale haïtienne, Port-au-Prince, tuant 220 000 personnes, en blessant 300 000 autres et ravageant profondément le tissu urbain.

De nombreux enseignements ont été tirés de l'intervention humanitaire menée au lendemain du tsunami qui a touché l'océan Indien en 2004. Toutefois, dix ans plus tard, des difficultés demeurent et non des moindres.

Une nouvelle approche pourrait sortir le monde de l'impasse dans laquelle il se trouve.

L'amélioration des droits des femmes a été présentée comme l'un des effets positifs les plus tangibles de l'intervention internationale en Afghanistan, mais ces avancées demeurent fragiles et risquent de s'éroder.

Le fossé entre les grandes fortunes et le reste de la population est vertigineux et continue de se creuser. Les pays du G20 ne sont pas à l’abri.

Ce rapport d'Oxfam met en évidence que le fossé entre riches et pauvres se creuse encore davantage et nuit à l'éradication de la pauvreté. Il s'intéresse aux causes de la crise des inégalités et envisage des solutions concrètes pour y remédier.

Le changement climatique aggrave d’ores et déjà la faim au sein de certaines populations, et ce en grand partie en raison du recours massif aux énergies fossiles, qui représente la source la plus importante d’émissions de gaz à effet de serre à l’échelle mondiale.

Oxfam analyse les engagements que les États et les acteurs du secteur privé s’apprêtent à présenter lors du sommet sur le climat, du 23 septembre 2014. Des engagements qui ne sont pas à la hauteur des besoins pressants. 

Il est très peu probable que l'initiative pour la Santé en Afrique de la Société financière internationale, qui promeut des soins de santé dispensés par le secteur privé, permette aux personnes pauvres d'obtenir de meilleurs résultats en matière de santé.

L'ampleur de la crise en Syrie appelle des engagements spécifiques plus forts de la part des membres de la communauté internationale pour atténuer les souffrances.