Du 20 au 27 juin 2014, les chefs d’Etats et de gouvernements de l’Union Africaine se réunissent, à Malabo, autour du thème central l’agriculture et la sécurité alimentaire en Afrique.
Les politiques gouvernementales et l’aide internationale de près de 6 milliards de dollars aux grands partenariats public privé risquent de fragiliser les droits fonciers des Africains, d'aggraver les inégalités et de nuire à l'environnement, selon un nouveau rapport.
L’augmentation des prix alimentaires, le changement climatique et des modifications considérables dans les régimes de propriété foncière aggravent la réalité de la faim et laissent aux personnes en situation d’insécurité alimentaire le sentiment d’être « des citoyens au rabais ».
Les Pays-Bas sont le pays où l’on mange le mieux, devant la France et la Suisse, selon un classement mondial de la situation alimentaire établi par Oxfam sur la base d’indicateurs d’abondance, de qualité, d’accessibilité financière et d'hygiène alimentaire.
Alors que s'ouvre la session annuelle du Comité de la sécurité alimentaire mondiale à Rome, Oxfam engage les États à veiller à ce que leurs politiques en matière d’agrocarburants ne chassent pas les petits agriculteurs de leurs terres et n’attisent pas les flambées des prix alimentaires.
Joris Voorhoeve, une personnalité éminente de la défense de la paix et du développement, est nommé président du conseil d’administration d’Oxfam International.
Oxfam encourage le Président Obama, ainsi que les leaders africains, à s’engager résolument à soutenir la transformation des institutions africaines en modèles de transparence et de redevabilité.
Trois mois après, les planteurs de cocotiers, les commerçants de produits issus des noix de coco et les pêcheurs les plus pauvres sont les laissés-pour-compte de l’effort de relèvement.
33 grands fonds d’investissement, gérant au total plus de 1 400 milliards de dollars, appellent les géants de l’agroalimentaire à améliorer leurs politiques en matière d’approvisionnement et de transparence.