evasión fiscal

Ce rapport examine les carences du régime fiscal international qui facilitent l’évasion fiscale de masse. Il se penche sur l’exemple d’une multinationale, qui, d'après Oxfam, ne paie pas sa juste part d’impôt au niveau international.

Depuis 2014, un grand nombre de documents ont révélé de quelle façon les entreprises puissantes et les grandes fortunes continuent d’exploiter les failles du système mondial pour éviter de payer leur juste part d’impôts. Et ce sont les populations les plus pauvres qui en paient le prix. Faites entendre votre voix et rejoignez la lutte contre les paradis fiscaux.

Oxfam exhorte les dirigeant-e-s du G20, réunis ce week-end (les 15 et 16 novembre) à Brisbane, en Australie, à s’attaquer de front aux inégalités croissantes, sans quoi, ils risqueront de priver des millions de personnes de tout moyen de sortir de la pauvreté.

Ce rapport d'Oxfam met en évidence que le fossé entre riches et pauvres se creuse encore davantage et nuit à l'éradication de la pauvreté. Il s'intéresse aux causes de la crise des inégalités et envisage des solutions concrètes pour y remédier.

Les inégalités nuisent à chacune et chacun d'entre nous. Elles freinent la croissance économique, augmentent la criminalité et anéantissent les espoirs et les ambitions de milliards de personnes. Mais elle ne sont pas inévitables ; elles résultent de choix politiques et économiques.

La sécurité énergétique, le changement climatique et l’économie mondiale figuraient au nombre des grands thèmes abordés par les chefs d’État et de gouvernement du

Pour que les pays en développement puissent bénéficier équitablement des activités des entreprises étrangères sur leur territoire, il est nécessaire de remanier le plan d’action, élaboré par l’OCDE à la demande du G20, visant à empêcher les entreprises de se soustraire à l’impôt.

La fraude fiscale des multinationales perpétue la pauvreté et affaiblit les économies des pays en développement. Un enjeu majeur pour l'économie mondiale, alors que les membres du G20 s'apprêtent à se réunir en Russie.

Pendant les deux jours du sommet du G8, qui commence aujourd’hui, des flux illicites de capitaux s’élevant à 2,2 milliards de dollars sortiront des pays en développement à destination de paradis fiscaux.