humanitarian aid

Des milliers de communautés du Sud-Soudan ouvrent leurs portes et offrent leurs maigres ressources aux réfugiés qui fuient le conflit du Soudan voisin. Oxfam appelle les pays donateurs à intervenir pour éviter une catastrophe.

Dans un nouveau rapport publié aujourd’hui, Oxfam révèle que les financements nécessaires dans le cadre des appels humanitaires de l’ONU liés à des événements climatiques extrêmes (inondations, sécheresses) sont aujourd’hui huit fois plus importants qu’il y a 20 ans. Et pourtant les contributions des pays donateurs ne suivent pas. Seulement la moitié de ces appels humanitaires de l’ONU pour les urgences climatiques a été financée au cours des cinq dernières années.

Oxfam a élaboré un « Plan d’amélioration de la prévention, de la protection et de la culture interne » destiné à orienter ses actions au cours des prochaines années. Il vise à garantir la cohérence de notre approche en matière de prévention et de protection, de changement de culture interne et de questions de genre, au sein d’un cadre de gouvernance amélioré.

Frappées par des cyclones et subissant les dégâts de sécheresses extrêmes, des communautés pauvres dans la Corne de l’Afrique et au Mozambique se retrouvent au premier rang de la crise climatique dont elles ne sont pourtant pas responsables.

Oxfam possède une expérience longue et reconnue de l’aide humanitaire en situation de crise. En cas de catastrophe, nous intervenons pour apporter une aide vitale et de haute qualité aux populations les plus touchées, tout en leur offrant une protection élémentaire.

 

Dans les régions les plus touchées par le cyclone Idai au Zimbabwe, au Mozambique et au Malawi, nous sommes allés à la rencontre des sinistré-e-s. Dorothy, Joshua et Madelema ont tout perdu dans la catastrophe et ont besoin d’une aide humanitaire de toute urgence. Vous pouvez agir.

Oxfam lance un message d’alerte aujourd’hui face à une crise humanitaire émergeant dans la région du Kasaï, au Sud de la République démocratique du Congo.

Les nouveaux cas survenus en milieu urbain signifient que le virus reste une menace.

Le mois d’août a été le plus sanglant de l’année pour la population civile du Yémen.

Les femmes rohingyas au Bangladesh développent des problèmes de santé, ne bénéficient d'aucune aide spécifique et sont davantage exposées aux abus parce que les installations dans de nombreuses sections des camps ne sont pas adaptées et sécurisées.