hygiene

L’Afrique de l’Ouest est frappée à son tour par la pandémie du coronavirus, autant par le virus lui-même que par les impacts des mesures barrières sur les populations les plus vulnérables. Mais elle possède un atout de taille : sa jeunesse, qui a choisi, en ces temps de crise, de se mobiliser et de faire partie de la solution.

Une partie essentielle de notre travail humanitaire consiste à fournir de l’eau potable et des installations sanitaires aux personnes les plus vulnérables. Du Mozambique au Yémen, découvrez comment nous combinons des décennies d'expertise avec des initiatives innovantes adaptées aux besoins uniques de chaque communauté.

Face à la pandémie de coronavirus qui continue de prendre de l’ampleur, Oxfam a renforcé l’ensemble de son système d’aide humanitaire pour soutenir les personnes les plus vulnérables. Malgré les restrictions d’accès, nous travaillons sans relâche avec nos partenaires locaux afin de freiner la propagation du virus et protéger les communautés de son impact économique. Vous pouvez nous aider.

Au cours des dernières années, des groupes armés ont envahi la région du Sahel, entraînant une crise humanitaire et sécuritaire, et dévastant des vies. Au Burkina Faso la situation se détériore rapidement : 2,2 millions de personnes ont désormais besoin d’aide humanitaire. L'eau est devenue une urgence absolue. Vous pouvez les aider.

Les dégâts occasionnés aux infrastructures de transport, telles que les routes, les ponts et l’aéroport, continuent d’entraver les secours, et l’aide acheminée reste limitée. Nous travaillons d’arrache-pied afin de porter assistance à 500 000 personnes dans les plus brefs délais.

L’ONU et les États doivent publier un plan d’action clair et précis pour que nous puissions adapter les opérations à l’évolution de l’épidémie, par nature changeante. Cela permettra à la communauté humanitaire de gérer ses ressources plus efficacement pour vaincre l’épidémie.

Aujourd’hui (vendredi 31 octobre), le plan d’intervention Ebola de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest visant à endiguer l’épidémie d’ici la fin novembre arrive à mi-course. La crise est cependant loin d’être terminée.

L’organisation humanitaire Oxfam met en garde contre la méfiance et les fausses rumeurs sur l’origine et la propagation de la fièvre Ebola qui permettent à la maladie de se développer.