precio de los alimentos

La pandémie de coronavirus vient décupler l’état de crise économique presque permanent dans lequel se trouve la main d’œuvre du secteur agroalimentaire. Aujourd’hui plus que jamais, les supermarchés et leurs fournisseurs doivent protéger les droits des travailleurs/euses et producteurs/rices qui risquent leur vie pour que nous puissions manger.

Saviez-vous qu’en Asie du Sud-Est, certains pêcheurs déclarent rester en mer jusqu’à 14 heures par jour, 27 jours par mois, pour un salaire horaire de 0,50 dollar ? Qu’ils soient pêchés ou cultivés, vendus sur les marchés ou dans les supermarchés, les aliments que nous achetons sont souvent produits aux dépens du bien-être humain. Apprenez-en plus et agissez avec nous !

Selon une nouvelle enquête sur l'alimentation menée au niveau mondial publiée aujourd’hui dans le cadre de la campagne CULTIVONS, des personnes changent aujourd’hui leurs habitudes alimentaires aux quatre coins du monde à cause de la hausse des prix alimentaires.

La FAO a déclaré aujourd'hui que les prix des céréales sont 69% plus élevés qu'il y a un an et que les produits agricoles risquent fort de rester volatiles et élevés pour le reste de l'anné

Selon Thierry Kesteloot, conseiller en Politiques alimentaires auprès d'Oxfam : "La hausse des prix alimentaires est très préoccupante.

les pays riches et les pays en développement doivent laisser de côté leurs récriminations et leur scepticisme afin de trouver les moyens de nourrir les 925 millions de personnes victimes de faim dans le monde.

Les augmentations des prix des produits alimentaires en 2007 et en 2008 ont focalisé l’attention sur une crise alimentaire mondiale, qui touchait déjà plus de 850 million

La forte hausse récente des prix alimentaires aurait dû profiter à des millions de personnes démunies qui tirent leurs moyens d’existence de l’