sécurité

10 ONG internationales, dont Oxfam, mettent en lumière les défis structurels qui continuent d'affecter la réponse humanitaire et les limites auxquels la communauté internationale fait face pour protéger les civils.

Selon Oxfam, au Népal, les femmes vivent dans la crainte de se faire agresser en raison du manque d’intimité et de sécurité dans les abris temporaires construits au lendemain du séisme qui a ravagé le Népal, le 25 avril dernier.

« Aujourd’hui, le Conseil de Sécurité des Nations unies a réellement témoigné de l’attention qu’il porte aux souffrances et aux besoins de protection des victimes en proie aux violences quotidienne

A l’heure où le groupe armé M23 se bat pour étendre le territoire qu’il contrôle, et où une multitude d’autres groupes armés terrorisent la population, le risque d’un effondrement total de la protection assurée par l'Etat dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) et d’une aggravation de la crise humanitaire s’accroît dangereusement.

Les membres de la coalition ne se mobilisent pas suffisamment pour prévenir les exactions perpétrées par les forces afghanes et tardent à régler cette question, à l'heure où l'armée afghane se prépare à prendre le relais de la sécurité, estiment Oxfam et d'autres organisations.

Dans les pays ravagés par les conflits armés, les civils continuent à payer le prix fort des hostilités persistantes alors que, trop souvent, les gouvernements et les opérations internation

Depuis le début des opérations militaires en janvier dernier, plus de 600 civils ont été tués et des milliers de femmes et de filles violées par les groupes rebelles armés et les forces gouvernementales.