seguridad alimentaria

En dépit du fait d’être un pays agricole, le Burundi connaît des niveaux d’insécurité alimentaire alarmants : 72% de la population souffre d’insécurité alimentaire.

Au cours de l'année écoulée, des phénomènes météorologiques extrêmes ont ébranlé les marchés mondiaux, contribuant à l'envolée des prix et compromettant la sécurité alimentaire de nombreuses régions, selon une étude publiée à l'ouverture des négociations sur le climat de Durban.

Le Comité de la sécurité alimentaire mondiale a démontré au cours de sa réunion annuelle qu’il est à la hauteur de son rôle. Cependant, plusieurs gouvernements ne sont pas encore prêts à faire face aux causes profondes des défaillances du système alimentaire mondial.

Pour de nombreuses personnes vivant dans les pays en développement, les prix alimentaires sont une question de vie ou de mort.

La nouvelle vague de transactions foncières ne correspond pas aux nouveaux investissements agricoles que des millions de personnes attendaient.

La catastrophe au Sri Lanka était en train de s’aggraver suite à la seconde vague d’inondations qui a frappé le pays. Un million de personnes avaient déjà été frappées par la première vague d’inondations.

Grâce à un programme financé par Oxfam au Malawi depuis 2005, plus de 3 000 familles ont reçu une chèvre.

En 2010, plus de 10 millions de personnes, en majorité des enfants et des femmes, ont été victimes du manque de nourriture au Sahel.

Bilital Maroobe et Oxfam avertissent que l’amplitude, la fréquence rapprochée des crises au Sahel ainsi que les réponses tardives et parfois inappropriées des décideurs et de la communauté internationale nécessitent de repenser les stratégies de réponse face à ces catastrophes à répétition.

La crise financière de 2008 a soulevé une série de questions fondamentales sur le rôle des investisseurs dans la société, tant sur le plan des investissements qu’ils effectuent que