inégalités extrêmes

La pandémie de coronavirus a causé de grandes souffrances dans les pays riches, submergeant certains des meilleurs systèmes de santé du monde. La maladie se propageant désormais dans les pays les plus pauvres, son impact pourrait être catastrophique et toucher les femmes de manière disproportionnée. Il y a urgence.

Ce rapport illustre le pouvoir incomparable de l’éducation publique dans la lutte contre les inégalités et la promotion de la cohésion sociale. Pour remplir ces objectifs, l’éducation doit être de bonne qualité et équitable. Elle doit être gratuite, universelle et suffisamment financée

Que ce soit en menant campagne pour mettre fin aux paradis fiscaux, ou en encourageant les investissements dans l’accès universel à la santé et à l’éducation, Oxfam s’emploie à assurer que les populations défavorisées reçoivent leur part du pouvoir et des ressources nécessaires à la réduction de la pauvreté et des inégalités.

Saviez-vous que depuis le début de la pandémie de COVID-19, la fortune des milliardaires a atteint des niveaux jamais enregistrés ? Chaque année, l’écart entre les riches et les pauvres se creuse davantage et entrave la lutte contre la pauvreté. Il est temps de mettre fin aux inégalités et de vaincre la pauvreté pour de bon. Agissez avec nous !

Aujourd'hui, les inégalités ont atteint des niveaux extrêmes en Afrique de l'Ouest. Un petit nombre croissant de personnes est devenu incroyablement riche, tandis qu'une majorité de citoyens se voient refuser l'accès à une éducation de qualité, des soins de santé et des emplois décents. Les gouvernements de la région sont pourtant les moins engagés d'Afrique dans la réduction des inégalités.

L’indice d’Oxfam de l’engagement à la réduction des inégalités (ERI) montre que les gouvernements d’Afrique de l'Ouest sont les moins engagés de tout le continent en matière de réduction des inégalités. S’ils ne font rien pour renforcer radicalement leur engagement à réduire les inégalités, la crise risque de s'aggraver.

Dans ce rapport, Oxfam dresse un état des lieux sur les inégalités au Maroc, et formule des recommandations pour faire de la fiscalité un instrument de réduction des inégalités.

La date butoir des Objectifs de développement durable approche à grands pas. Pourtant, les pays les plus pauvres font face à des écarts de financement considérables et des inégalités économiques croissantes qui constituent un frein à la réduction de la pauvreté.

Dans trop de pays, l’éducation et la santé sont un luxe que seuls les plus riches peuvent se permettre. Les enseignantes et les professionnelles de santé comme Nellie et Dorra consacrent leur vie à des services publics de qualité qui bénéficient aux populations les plus pauvres. Et luttent chaque jour contre les inégalités.

L’indice de l’Engagement à la réduction des inégalités (ERI), qui classe 158 États en fonction de leurs politiques en matière de services publics, de fiscalité et de droits de la main d’œuvre, montre qu’aucun pays au monde n’en faisait assez pour lutter contre les inégalités avant la pandémie de COVID-19. Cette inaction contribue à alimenter la crise et accroît la vulnérabilité des personnes vivant dans la pauvreté, en particulier les femmes.