Frappées par des cyclones et subissant les dégâts de sécheresses extrêmes, des communautés pauvres dans la Corne de l’Afrique et au Mozambique se retrouvent au premier rang de la crise climatique dont elles ne sont pourtant pas responsables.
ll est absolument vital d'atténuer les conséquences des catastrophes sur les populations pauvres. Le financement de la lutte contre les risques climatiques/de catastrophe pourrait jouer un rôle crucial s'il s'inscrit dans une approche qui inclut la réduction des risques et repose sur une réelle participation de la société civile.