campo de refugiados

Après le viol et le décès de sa mère, Beatrice, 19 ans, a fui la guerre au Soudan du Sud avec son mari et son bébé. Elle vit aujourd'hui avec sa famille dans le camp d’Imvepi, qui accueille 95 000 personnes. Elle fait partie du million de Sud-Soudanais et Sud-Soudanaises actuellement réfugiés dans l’Ouganda voisin.

Le camp de Zaatari accueille près de 80 000 réfugiés qui ont dû fuir la guerre en Syrie. Depuis 2012, ce camp, constitué de quelques tentes, s’est transformé en une véritable ville semi-permanente. Nous avons adapté notre approche pour mettre en œuvre des solutions plus durables afin de répondre aux besoins des personnes résidant dans le camp et de la communauté locale vulnérable.

5 ONG humanitaires internationales affirment aujourd’hui que de nombreux réfugiés syriens vivant hors des camps dans les différents pays de la région ne bénéficient pas de l’aide dont ils ont désespérément besoin.

Long-term vision and committed funding urgently needed from international community as flow of Syrian refugees continues.

Alors que les températures locales vont atteindre plus de 40°c dans les semaines à venir, Oxfam est très préoccupée par l’augmentation des risques sanitaires pour les réfugiés syriens provoquée par cette hausse des températures.

Selon Oxfam, la crise humanitaire en Syrie s’aggrave de plus en plus chaque jour. Les ONG humanitaire sont mises en difficulté et peinent à prendre en charge l’affluence croissante de réfugiés alors que les fonds promis tardent à arriver sur le terrain.

Alors que des centaines de milliers de personnes continuent de vivre dans la peur des attaques en République démocratique du Congo, les dirigeants réunis au sommet de l’Union africaine doivent faire de la paix une priorité.

Oxfam demande des actions urgentes pour prévenir les évictions de milliers de personnes se trouvant dans des camps.

Les camps qui abritent plus de 100 000 réfugiés soudanais dans la région de Maban au Soudan du Sud constituent de véritables bombes à retardement, sur le point de se transformer en foyers d’épidémies majeures.

La vie de dizaines de milliers de personnes est menacée dans le camp de réfugiés de Dadaab, au Kenya, alors que les fonds destinés à des services vitaux risquent de se tarir d’ici deux à trois mois