Negotiators avoided a show-down over crunch issues like finance and increasing near term emissions cuts, but they are only delaying the inevitable. A clearer mandate from Heads of State and ministers is needed to ignite the talks and ensure key questions are answered.
La multiplication des événements climatiques extrêmes continue de laisser de marbre les négociateurs de l’ONU sur le climat. L’accord trouvé sur des éléments annexes à Lima ne ferme pas la porte à un accord plus large à Paris mais il ne donne aucun signe que l’ambition nécessaire sera au rendez-vous.
Selon Oxfam, face au manque de transparence et à l’opacité des méthodes comptables utilisées par les pays développés, les pays en développement peinent à comprendre quels seront les financements disponibles pour lutter contre le changement climatique.
Alors que commence à Durban le dernier jour des négociations sur le climat, l’issue du sommet et le sort d’un accord restent incertains. L'impact climatique catastrophique, si des décisions ne sont pas prises dans les prochaines 24 heures est lui très clair.
Au cours de l'année écoulée, des phénomènes météorologiques extrêmes ont ébranlé les marchés mondiaux, contribuant à l'envolée des prix et compromettant la sécurité alimentaire de nombreuses régions, selon une étude publiée à l'ouverture des négociations sur le climat de Durban.
Moins de deux jours avant la fin d’un sommet de Cancun à l’issue de plus en plus incertaine, Oxfam prévient que les intérêts nationaux et les stratégies maximalistes ne doivent pas saboter les négociations sur le climat.
En réaction à la dernière version du texte sur les financements sur le climat finance parvenue ce jour, Tim Gore, porte-parole d'Oxfam sur les questions climatiques déclare :