Alors que les négociations à Varsovie se sont achevées au terme d'une quinzaine de jours de farce et de fiasco, Oxfam prévient que seule une mobilisation citoyenne massive pourra venir au s
Alors que les ministres du monde entier sont réunis à Varsovie pour discuter de la manière dont ils vont honorer leurs engagements en matière de financement de la lutte contre le changement
Selon Oxfam, face au manque de transparence et à l’opacité des méthodes comptables utilisées par les pays développés, les pays en développement peinent à comprendre quels seront les financements disponibles pour lutter contre le changement climatique.
A la veille de la conférence de Doha, les pays en développement n’ont aucune certitude quant aux financements pour réduire leurs émissions de CO2 et s’adapter aux changements climatiques.
Un sondage réalisé dans six pays Européens et commandité par Oxfam révèle qu’une majorité de personnes au Royaume-Uni, en Allemagne, en France, en Espagne et en Italie disent soutenir une Taxe Robin des Bois.
En réaction à la dernière version du texte sur les financements sur le climat finance parvenue ce jour, Tim Gore, porte-parole d'Oxfam sur les questions climatiques déclare :
A Cancun, les négociateurs doivent garder à l'esprit l'urgence de la situation et la volonté d'agir concrètement après une année marquée par les catastrophes liées au climat, les records de température, les inondations et l'élévation du niveau de la mer.
Un rapport du Groupe consultatif de haut niveau de l'ONU de lutte contre les changements climatiques (AGF) met clairement en évidence qu’il est possible de lever des fonds publics pour aider les pays pauvres à s’adapter au changement climatique, sans exercer des pressions sur les contribuables.