basic social services

Les discours dominants promouvant la croissance économique aux dépens des institutions publiques et des services sociaux essentiels étayent depuis longtemps un modèle néolibéral d’endettement et d’austérité galopants dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord. Ce modèle exacerbe la capture politique et les inégalités et prend forme dans un contexte de concentration des médias et de contraction de l’espace civique.

Aujourd'hui, les inégalités ont atteint des niveaux extrêmes en Afrique de l'Ouest. Un petit nombre croissant de personnes est devenu incroyablement riche, tandis qu'une majorité de citoyens se voient refuser l'accès à une éducation de qualité, des soins de santé et des emplois décents. Les gouvernements de la région sont pourtant les moins engagés d'Afrique dans la réduction des inégalités.

Plus d’un milliard de dollars manquent à l’appel pour apporter le soutien qui permettrait de scolariser 57 millions d’enfants.

Les progrès réalisés en matière de développement en Afghanistan au cours de la dernière décennie risquent d'être compromis si les niveaux d'aide sont réduits avec le retrait des forces internationales en 2014.

Ahead of the 65th World Health Assembly (WHA), taking place in Geneva next week, International agency Oxfam has warned that the fundamental role of the World Health Organization (WHO) as the leading agency for global health is at risk because it has suffered from a severe financial crisis and related heavy staff losses.

Les ministres des finances et les banquiers de la Banque Centrale des pays du G20 se sont réunis ce samedi à Londres en séance préparatoire en vue du sommet du G20 à Pittsburgh qui aura lieu ce mois ci. Cette séance devait établir la base des négociations qui auront lieu à Copenhague en décembre.

L’Afrique de l’Ouest a le taux d’alphabétisation le plus bas du monde.

L'Etat iraquien doit augmenter de toute urgence l'aide destinée aux femmes et à leur famille ainsi que ses investissements dans les services sociaux ; 75% des veuves interrogées ne reçoivent aucune pension.

Les donateurs issus des pays riches et la Banque mondiale gaspillent de l'argent et mettent des vies en danger en continuant de promouvoir dans les pays pauvres des programmes de soins de santé privés, qui n'ont pas fait leur preuves et sont même discrédités.

Pour des millions de personnes vivant dans les pays pauvres, l'accès universel et équitable aux soins de santé dépend d'une augmentation massive des servi