Oxfam affirme que l’armée afghane, et surtout la police, ne sont toujours pas prêtes à assurer correctement la sécurité des civils en Afghanistan. L'organisation exhorte les alliés internationaux de l’Afghanistan à faire de la réforme des forces de police une priorité.
La majorité de la population vivant dans les zones où sévit l’armée de résistance du seigneur (LRA) en République démocratique du Congo (RDC) se sent moins en sécurité en 2011 qu’en 2010, selon une étude menée par Oxfam dans les régions concernées.
L’Organisation internationale Oxfam a acheminé par avion le 14 mars de l’aide depuis le Royaume-Uni jusqu’au Libéria pour 70 000 personnes face à l’aggravation de la crise humanitaire.
A l'occasion de la visite de la cheffe des Affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), Valérie Amos, en République démocratique du Congo (RDC), Oxfam exhorte les Nations unies à ne pas manquer à leurs responsabilités envers des communautés privées d’une aide dont elles ont le plus grand besoin.
Les forces des Nations unies chargées du maintien de la paix sont un des principaux instruments de protection des civils. Pourtant, elles ne s'engagent pourtant que rarement auprès des communautés locales qu'elles sont censées protéger, constate l'organisation internationale Oxfam.
L'arrivée de nouveaux soldats en Afghanistan pourrait affecter davantage la population si les forces militaires internationales ne font pas de la sécurité des civils la priorité de leurs opérations.